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Cette nouvelle rubrique concerne les
livres qui sont parus récemment ou d'autres que nous aimons et que
nous désirons partager avec vous. Certains sont écris par nos collaborateurs dont certains sont historiens et reconnus. Ce sera souvent des récits historiques, généalogiques puisque c'est ce que nous traitons sur le site. Si, vous avez un livre à conseiller, dites-le nous. |
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Les pêcheurs de la France atlantique ont alimenté le courant d'une population aussi nombreuse que mobile à exploiter les richesses du Nouveau Monde. Ils étaient Normands, Bretons, du Centre-Ouest français, de la Charente maritime et du Pays basque. Ces visiteurs saisonniers ont pendant le XVIe siècle défriché avec ardeur les hauts bancs du golfe Saint-Laurent ou bien dressé des installations sommaires sur les côtes de la colonie. Leurs navires s’en retournaient chargés de morues, d’huile de baleine et même de fourrures. Leurs fils les ont suivis au siècle suivant et commencèrent à s’installer au Nouveau Monde. Parmi ces premiers exploitants, les Basques ont marqué l’imagination de nos contemporains. On les a vu comme d’intrépides gueules d’embrun. On les a imaginés en hardis marins sillonnant les mers sur des coquilles de noix, en audacieux baleiniers qui s’en prenaient à des cétacés des centaines de fois plus gros qu’eux, en de farouches corsaires qui harcelaient les équipages étrangers, mais la vérité se veut plus nuancée. En effet, on ne peut résumer la présence basque en Nouvelle-France à quelques éphémérides de ce type. Ce livre sur les Basques et les gens de Bayonne témoigne des activités économiques majeures qui les ont amenés et retenus en Amérique. Cet ouvrage veut, montrer la richesse et la diversité de cette expérience en Nouvelle-France suivant une perspective canadienne. Il s'agit moins dans cette approche d'attribuer des palmes de mérite que d'identifier une présence, de définir des activités, de montrer leurs suites sur l'entreprise de colonisation dans la vallée laurentienne et sur le littoral ainsi que de préciser un mode de vie et une succession d'activités au fil du développement de la colonie.
En vente à la Librairie Alpha 168 rue de la Reine, Gaspé (Québec) G4X 1T4 (tél. 1-418-368-5514). Pour ceux qui restent trop loin de Gaspé, ils peuvent envoyer un courriel (mail) aux soins de Sonia Pelletier. L’ouvrage est aussi disponible aussi dans toute bonne librairie du Québec et de France ou sur Internet.
Également en PDF au prix de $18.71
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Parenteau de France XVIe et
XVIIe siècles (280 pages) |
Histoire des Parenteau
d'Amérique 138 pages |
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Pour toute commande, écrire à gillesparenteau@gmail.com |
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Renseignements ou entrevue :
Victorin Mallet
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En parcourant la généalogie de sa famille immédiate, les Mallet de Shippagan, Victorin N. Mallet a découvert que ses ancêtres avaient des racines amérindiennes, tel que démontré par test d’ADN, et qu’ils étaient descendants de ces Métis de la Baie des Chaleurs. Qui étaient ces Métis ? D’où venaient-ils? Que sont-ils devenus ? Ont-ils laissé des traces encore perceptibles dans la population actuelle ? Voilà quelques questions auxquelles on tente de répondre dans ce récit. Dans ce texte, le terme Métis se réfère spécifiquement à une personne issue de l’union d’un père français ou basque et d’une mère autochtone de l’est du Canada actuel au 18e siècle ou avant. Ils portaient des noms tels que Albert, Chapados, Chicoine, Cronier, Daraîche, Darosbille, David, Denis, Duguay, Gallien, Gionet, Grenier, Huard, Langlois, Lanteigne, Larocque, Le Bouthillier, LeVicaire, Mallet, Michel, Rousseau et Roussy. Aujourd’hui un bon nombre de leurs descendants résident toujours autour de la baie des Chaleurs. Cet ouvrage est présentement en vente à la Librairie acadienne au prix de 27.95 $ et le sera prochainement dans plusieurs autres endroits comme la Librairie Pélagie à Shippagan et à Caraquet. Pour plus de renseignements veuillez communiquer avec Victorin Mallet. |
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C'est un "livre de référence" sur Gaspé de 1534 à
1970. Ce livre est une initiative de la Ville de Gaspé dont le maire est
François Roussy. Vous y trouverez certainement de vos ancêtres et
beaucoup de photographies, de documents exclusifs, de cartes. Un livre
d'histoire complet. |
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Fidèle Thériault est un grand historien spécialisé dans l'histoire et la généalogie acadienne. Nous avons la joie de l'avoir comme collaborateur de notre site. Il a publié "Les familles de Caraquet (1985), "Les Savoie, une grande famille acadienne au Nouveau-Brunswick (1992), "la Famille Doiron (Gould en 1994, et les Allain en 2004 Le présent livre a pour objet la famille Thériault
établie à Caraquet, celle du pionnier Joseph Thériault, marié à
Marie-Joseph Girouard, et ses descendants. Il connut avec sa famille
l'exil et la persécution menée par les autorités britanniques
pendant la Grande déportation de 1755 et les années qui suivirent.
Il échappa à la Déportation en se réfugiant d'abord à la rivière
Saint-Jean, puis dans les paroisses du bas-Saint-Laurent
(Trois-Pistoles, Cap St-Ignace et Ste Anne-de-la-Pocatière) de 1759
à 1767. Il se joignit alors à un groupe de familles acadiennes et
revint s'établir à la rivière Saint-Jean près de l'ancien village
Sainte-Anne (Fredericton). La paix des familles acadiennes fut de
nouveau perturbée avec l'arrivée des Loyalistes en 1783. Joseph
décida alors d'émigrer à Caraquet. Avec les familles de ses fils, de
Jean-Baptiste Godin et Pierre Pinet, il est le fondateur du village
actuel de Bertrand (N-B.). |
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Corsaire ! Voici un mot aux accents héroïques qui évoque tout à
1a fois l'odeur de la poudre et 1'éclat de l'or, le cliquetis des
sabres d'abordages et les voiles qui claquent au vent, la fumée du
canon et les aventures maritimes. C'était au temps de la marine
voiles, à une époque de guerres récurrentes où les marins se
transformaient en défenseurs de la France sur toutes les mers
du globe. Et elles furent nombreuses ces guerres entre le règne de
Louis XIV et la chute de Napoléon : nombreux aussi furent donc ces
pêcheurs granvillais, empêchés de mener leurs lointaines expéditions
morutières qui se transformèrent en corsaires. La période était
faste pour le port de Granville qui armait alors. à part égale ave
Saint Malo, les deux tiers de la flottille morutière française. Il
était bien normal donc, qu'à l'instar de sa voisine, avec qui elle
partage une histoire commune, elle ait fourni tant de corsaires,
capitaines et armateurs. Ils lurent 184, ces aventuriers des mers
qu'Anne Cahierre à retrouvés dans les archives et leurs
biographies forment la trame de ce dictionnaire, point
d'aboutissement d'une longue recherche de près d'une décennie aux
quatre coins de la France. L'ensemble est enrichi d'une
introduction historique, d'un état des sources, d'un glossaire et
surtout d'un index d'environ trois mille entrées (noms de
personnes, de lieux et de bateaux), qui le transforme en outil de
travail de premier plan pour tous les chercheurs, les
généalogistes et les passionnés d'histoire maritime. L'auteur Ingénieur d' études honoraire en sciences humaines au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) Anne Cahierre descend en ligne directe de cinq des capitaines corsaires granvillais qui l'ont l'objet de ce dictionnaire et elle est apparentée à nombre d'entre eux. d'entre eux. Collection Numéro 2 Pour vous procurer son livre : Conseil général de la Manche Archives départementales 103 rue Maréchal Juin — BP 540 — 50010 Saint-Lô cedex Prix : 20 € 472 pages |
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Les soldats de la guerre de
Sept ans
A partir des contrôles militaires, des engagements et des embarquements conservés en France, les chercheurs du Projet Montcalm ont réalisés, au cours des trois dernières années, une étude inédite sur les combattants de la guerre de Sept ans en Amérique. Le complémentaire des archives françaises, canadiennes et britanniques a permis de retracer la plupart des 7450 officiers et soldats envoyés par la France en Amérique entre 1755 et 1760. Ce livre contient entre autres un répertoire de 7450 notices biographiques de soldats et officiers des Troupes de terre françaises présente en Amérique entre 1755 et 1760. Société généalogique
canadienne-française, Montréal |
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Dauntless Spirit par/by Micheline Gadbois MacDonald
Micheline est née à Montréal en 1928 et elle quitta le Québec pour le Nouveau-Brunswick lors de son mariage avec Walter MacDonald. Elle commence à écrire sérieusement "en 1987 quand elle rejoint le Groupe d'écrivains, Saint John. Elle décida d'écrire l'histoire richement
documentée de son ancêtre directe par sa grand-mère maternelle,
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Un Esprit Intrépide
Dauntless Spirit qui, en traduction, devient Un Esprit Intrépide est l’histoire de Marie Pomponnelle mon ancêtre. En 1656 Marie est venue de son hameau, Bourg de Longève en France pour s’établir à Trois Rivières en Nouvelle France. Là, elle a retrouvé Nicolas Petit dit Laprée qui, en France, lui avait promis le marriage. Nicolas était venu en 1649 comme homme engagé et son contrat terminé, il a fait venir Marie. La vie quotidienne pour les habitants de ce nouveau pays n’était pas facile. Ils travaillaient de l’aube au coucher du soleil afin de défricher la terre. De plus, il y avait les attaques des Iroquois. Durant ses premières années dans son nouveau pays, Marie a dû apprendre à faire beaucoup de choses. Vous allez voir en lisant son journal, qu’il a fallu, entre autres, qu’elle tisse le lin et le chanvre afin de faire des vêtements. Elle devait faire son savon et en été elle était une cueilleuse de plantes sauvages pour en faire des potions, car il n’y avait pas de pharmacies. Comme elle écrivait son journal à tous les jours, il lui fallait du papier et lorsque sa réserve fut épuisée, elle appris, sous le tutelage du prêtre à faire du parchemin. Elle menait une vie qui était dure mais une qui avait ses récompenses. Pour Marie, les récompenses étaient son amour pour son mari Nicolas et ses enfants. Elle en a eu neuf et en plus, elle a fait de nombreuses fausses couches. En 1683 Marie et Nicolas, ayant perdu la terre à Trois Rivières, sont allés vivre à Varennes dans une maison de leur beau-fils. En 1693, étant tous les deux aveugles, ils ont pris résidence chez leur fils Paul.. Marie et Nicolas ont fini leurs vies chez Paul. Nicolas est mort en 1697 et Marie en 1700. Tous les deux furent enterrés dans la petite église de Varennes. Leurs descendants sont maintenant dispersés parmi le monde.
MIcheline Gadbois MacDonald. 2011 |
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