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Généalogie et biographie
Capital humain | Les Bourdon-Toupin | Marguerite Boucher | La seigneurie de la Pointe aux Ecureuils | Ma lignée directe ![]() |
Toussaint Dussault dit Du Sault par Alain Dussault
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Alain Dussault gencaretal |
Note : Le texte sur la Seigneurie de Bélair est reproduit avec l’aimable permission de Gilles Dussault |
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![]() Blason de la Normandie |
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*Toupin, *Toupin dit Du Sault, *Toupin du Sault, *Toupin Dussault, *Dussault On peut aussi retrouver le nom écrit de plusieurs façons *Duclos, *Dusost, *Dusault, *Dusseault |
Un peu d’histoire au sujet de Toussaint Toupin, sieur Du Sault, sieur Du Clos, Seigneur de Belair dit La Pointe-aux-Écureuils, sénéchal de la Seigneurie de Lauzon, maître de barques et bourgeois de Québec |
![]() Toussaint Toupin dit Du Sault |
Hélas, on ne connaît pas la filiation ni l’origine du premier qui fut le plus ancien de tous. Cet homme mystérieux possédait une casaque et le haude chausse (culotte), trois mousquets et un vieux tabar (manteau court des rois d’armes), des objets propres à un mousquetaire du Roi. Il se prénommait Toussaint; c’est celui qui laissa la marque la plus indélébile, car on le considère à juste titre comme le fondateur des Écureuils, municipalité située à quelque 45 kilomètres en amont de Québec. Pour le différencier des deux autres, on le surnommait Toupin du Sault, laissant tomber les deux mots « la Puce », car sur sa terre, il y avait une rivière du nom de « Du-Sault-à-la-Puce ». Le 01 septembre 1946, les familles Toupin-DuSault ont célébré le tricentenaire du mariage de leur ancêtre bien méritant. On y a d’ailleurs dévoilé une stèle en son honneur. Comme le contrat de mariage de Toussaint Toupin et Marguerite Boucher, de même que l'acte du mariage lui-même, qui tous deux devaient mentionner l'origine de l'ancêtre, n'ont pu être retrouvés, il semblait presque impossible d'avoir une idée de son lieu de naissance. Mais voici que monsieur Eugène-F. Dussault, dans son livre sur les Toupin Du Sault, mentionne l'acte de donation d'Élisabeth-Ursule, dite Sœur Sainte-Françoise, fille de Toussaint Toupin et de Marie Bourdon, au moment de son entrée chez les religieuses Hospitalières, où elle déclare que «ses père et mère sont originaires de la Normandie». *Cet acte, Louise Dussault Roy la retrouvé dans les insinuations de la Prévôté de Québec, en date du 12 mars 1695, notaire François Genaple. Et c'est vrai pour sa mère qui est née en Normandie! On peut donc présumer, sans crainte de se tromper, que son père était bel et bien normand lui aussi.*Telles sont les frontières de nos connaissances quant aux origines de cet ancêtre dont la vie active et généreuse occupe une place enviable dans les débuts de notre histoire. Toupin ou petit pot de verre fut un surnom que l’on attribuait aux marchands bretons. Le toupin signifiait aussi un resquilleur, un écornifleur. |
Enfin, la dernière hypothèse
s'appuie sur les inventaires des biens de 1669 et de 1677. Toussaint
Toupin possède une casaque et un «haut-de-chausse de drap dangleterre»,
vêtements portés par les mousquetaires sous Louis XIII. Sous le règne de
François I, la casaque est un manteau court, ouvert sur le devant,
laissant voir le pourpoint. Elle revient à la mode sous le règne de
Louis XIII et elle est aussi connue sous le nom de calabre.Les
hauts-de-chausses, légèrement bouffants, tombent au-dessous du genou.
Toussaint possède aussi une pertuisanne, une hallebarde et plusieurs
mousquets, armes des mousquetaires. Une hallebarde est une arme d'hast,
soit une arme blanche à fer pointu d'uncôté et tranchant de l'autre
emmanché au bout d'une longue hampe. La pertuisane est une sorte de
hallebarde à fer long. Le mousquet est une arme à feu portative employé
en France au XVI et XVII siècle. On mentionne aussi dans les inventaires
la présence d'un tabard, manteau de parade, généralement court et
flottant, à manches très courtes et souvent ouvertes, le tabard est un
vêtement blasonné qui se porte souvent dans les tournois.
Le Dr Dionne, dans son livre sur L'Origine des Familles Canadiennes-Françaises en 1914 et D'Hozier dans son Armorial de France de 1862 mentionne ce qui suit:« Toupin, seigneurie de Normandie érigée en 1483 pour Toustain. Toustain, marié en 1508, était seigneur de Fronteboc et député de la Noblesse au parlement de Normandie. Ses descendants, vers 1636, virent leur terre érigée en marquisat et comté sous le titre de Carensi en Artois. Les Toupin portaient dans leurs armoiries Vairé d'argent et de sable, leur devise était Toustains de sang, elle remontait aux Croisades et signifiait tout teint du sang des Infidèles.» La ressemblance des noms, ainsi que la région de Normandie, tout comme le mentionne Élisabeth-Ursule, les objets trouvés dans les inventaires des biens nous incitent à penser que Toussaint Toupin Sieur Du Sault était de noble origine, résidant de Normandie et militaire de son état... J'espère pouvoir faire la preuve de cet énoncé au cours de futures recherches... Recherches par Micheline Lavoie Dussault, 1994
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Région de Notre-Dame de QuébecCe jeune homme de 23 ans (ce qui nous fait dire qu’il serait né en 1616) apparaît pour la première fois dans nos registres le 25 avril 1639, à Sillery, où il est parrain d’un Iroquois baptisé Charles Chechouekhe par le père Claude Pijart. Toussaint était donc au pays depuis 1638. Trois ans seulement après la mort de Champlain, le père de la Nouvelle-France. Le 11 novembre 1639, lors de la criée et vente des biens de feu Guillaume Hébert, à Notre-Dame de Québec, Toussaint paie 26 sols pour un vieux haut-de-chausse ou paire de culotte. (Selon le procès verbal dressé parle notaire Martial Piraude). Trois-RivièresSans pouvoir en produire la preuve irréfutable, les auteurs sérieux affirment que Toupin alla vivre à Trois-Rivières, car dès les premières années, on trouve souvent son nom rapproché de celui de Pierre Boucher. À partir de 1643, il est près de Gaspard Boucher, père de Pierre. Deux ans plus tard, Toussaint et Marguerite Boucher, âgée de 14 ans et 5 mois, la sœur du Futur gouverneur, passèrent un contrat de mariage sous seing privé le 25 décembre 1645, à Trois-Rivières selon le journal des Jésuites, puisque le notaire Guillaume Audouart pratiquait en cette ville avant de venir s’établir à Québec. Gaspard promit alors de donner 200 livres et «autres effects» à sa fille. La future épouse eut droit au douaire coutumier. L’acte de mariage n’est plus dans nos registres. Marguerite, fille de Gaspard et de Nicole Lemaire, avait été baptisée à Notre-Dame de Mortagne, au Perche, le 28 juillet 1631 (fichier origine sur Internet). Elle arriva au Canada vers 1634, à l’âge de trois ans. Elle a eu comme parrain : Alexandre Aubin, sieur de Niverville et comme marraine : Dame Marguerite Forcadier, fille d’Alexandre Alin de la paroisse de Loysy.
D’après les
Relations des Jésuites, le 23 janvier 1646, Toussaint Toupin et Pierre
Boucher, son beau-frère, arrivent à Notre-Dame de Québec avec un Agnier
des Trois-Rivières, porteur de messages. Le 14 février, jour des
Cendres, Pierre Boucher et Toupin avec Gabriel du Clos reviennent à
Québec.
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![]() Baptisée le lundi 28 juillet 1631, à Notre-Dame-de-Mortagne au Perche, Orne, elle est le septième enfant de Gaspard Boucher, menuisier, et de Nicole Lemaire. Elle contracte mariage devant le notaire Guillaume Audouart, le lundi 25 décembre 1645, avec Toussaint Toupin, d’origine inconnue. De leur union naissent six enfants.
Elle
vient au pays avec ses parents en 1634
(Fichier origine sur Internet).
Le 26 juillet 1656
(ANDQ CS),
elle reçoit le scapulaire du Mont-Carmel et le premier octobre suivant,
elle entre dans la Confrérie du Saint-Rosaire
(CSR).
Elle est également confirmée à Québec le 10 août 1659
(aaq rc).
Sa sœur Marie, veuve d’Étienne Lafond, lui donne procuration, le premier
septembre 1666
(notaire Romain Becquet),
de percevoir en son nom, du boucher Michel Lecourt de Beauport la somme
de 110 livres, dont il lui est redevable pour la livraison de deux
bœufs. On ignore la date exacte de son décès, mais elle vit toujours
lors du contrat de mariage de sa fille Marie, le 20 mars 1668, avec
Pierre Mouet et est décédée quand son fils Jean épouse Marie Gloria à
Québec, le 03 juin 1669.
Source:
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La Seigneurie Bélair de la Pointe aux Écureuils |
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Premier seigneurL'acte de concession de la seigneurie date du 30 novembre 1672. Le nouveau seigneur n'y vint certainement pas immédiatement d'autant plus que sa jeune épouse était enceinte et que son premier enfant naîtra au Saut-à-la-Puce le 20 mai 1673. Lorsque Jean, né du premier mariage de Toussaint Toupin et de Marguerite Boucher, prit possession de la seigneurie, il adopta le surnom comme titre de nouvelle noblesse rurale, ce qui fait que la famille fondatrice de Les Écureuils fut les Toupin-du-Sault qui devinrent simplement les Dussault La seule voie permettant de se rendre aux Écureuils était le fleuve Saint-Laurent. Aucune route, de la forêt, quelques chaumières à Saint-Augustin et Neuville puis le vide. Le père Toussaint Toupin a 56 ans et son commerce de navigation lui prend tout son temps. C'est donc son fils Jean qui sera le véritable fondateur de la seigneurie. |
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Jean
Baptiste a 24 ans et son épouse Marie, fille du notaire Jean Gloria, est
née le 14 mars 1654 et eut pour parrain le sieur Louis D'Ailleboust de
Coulonge, gouverneur, et pour marraine, Jacqueline Potel, femme de Jean
Bourdon, procureur général de la colonie et seigneur de Neuville, d'où
le mot Dombourg. Elle n'a que 18 ans, épouse depuis 3 ans et
ex-pensionnaire aux Ursulines de Québec. S'exiler dans une forêt, 30 ans
et avant la paix définitive avec les Indiens, c'était de l'héroïsme. |
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Dès leur prise de possession, le père et le fils se partagent le fief
par moitié. (Louis Chambalon, 23 février 1702) En 1676, à la
mort de Toussaint Toupin, Jean devient seul propriétaire de tout le
fief. Détenteur d’une moitié, par titre de concession, il acquiert la
demie de l’autre par succession, en vertu de son droit d’aînesse et la
balance par achat de droits à ses frères et sœurs, Antoine, François,
Jean, Marie (ayant renoncé par contrat de mariage le 08 avril 1669)
Jeanne, Élisabeth-Ursule (ayant déjà renoncé à ses droits de
succession en faveur de son frère aîné lors de la première donation).
Nouveaux arrivantsEn 1691, arrive aux Écureuils François Dussault, époux de Geneviève Mezeray. Il occupe la terre voisine du domaine abandonné par Pierre Grosleaux. Il l'achète en 1695 et en 1707, son fils Jacques du Cap-Rouge viendra s'établir à l'ouest de son père. Cette famille venait de Paris avec le nom de Dussault, ce qui fait qu'aux Écureuils, dès le début, il y avait la famille fondatrice Toupin du Sault et les Dussault. Fait curieux, en 1972, il ne reste qu'une ou deux familles Dussault alors que les Toupin-Dussault sont encore très nombreux même si elles ont abandonné le nom original Toupin. Le 10 juillet 1694 (notaire Louis Chambalon), Jean Toupin, seigneur de la terre et seigneurie de Bélair, demeurant en son manoir seigneurial de Belair, cède une terre située en la seigneurie de Belair à Mathurin Chailly. Premier moulinNous étions aux temps héroïques des massacres indiens. Il ne fallait pas s’éloigner de la seule voie de salut, le fleuve Saint-Laurent. Or, aux Écureuils, plus particulièrement, dans les limites de la seigneurie originale, aucune rivière ne se jetait dans le fleuve. Le jeune seigneur, Jean Toupin-Dussault choisit un fort ruisseau qui passait non loin de son manoir pour y ériger son moulin. Ce ruisseau étant soumis au caprice des pluies et de son courant, au bout de quelques années, il ne pu alimenter suffisamment les exigences des colons. Nous n’avons pas de preuves, mais les censitaires eurent certainement la permission d’aller faire leur moulange et leur bois de charpente à Neuville. Cet état dura jusqu’à la mort du premier seigneur survenue en 1700. Ce n’est que le 19 août 1711 (notaire Jacques Barbel), que sa veuve unie de nouveau sa vie à un marchand boucher, de la ville de Québec, du nom de Louis Bardet,. Il était veuf de Geneviève Trépagny. L’acte d’inventaire des biens du fief et de la seigneurie des Écureuils daté du 21 avril 1712 (notaire Florent de Lacetière), nous dit que le pauvre petit moulin était en ruines. En 1701, Belair des Écureuils compte 22 censitaires et 66 1/2 arpents en valeur. Dans la liste, nous y lisons les Pagé, Dussault et Petit en plus de la famille du seigneur Toupin-Dussault. Fait remarquable, nous retraçons 10 familles dans la deuxième concession, appelée dès cet époque le *"village".* Le seigneur a une cavale (jument), 10 bêtes à cornes, des porcs, des poulets, des cannes, des dindes et des pigeons et nous y lisons aussi une barque évaluée à 900 livres. Deuxième seigneurJean-Baptiste, fils du fondateur des Écureuils, sieur Dussault de Belair, naquit le 30 juin 1678 à la Pointe aux Écureuils. A la mort de son père, il n'avait que 22 ans, donc mineur au sens de la loi pour l'époque. Comme il hérite sans morcellement de toute la Seigneurie, il obtint du Conseil Souverain le 27 avril 1701 ses lettres d'émancipation permettant "aud. Exposant de jouir de ses biens meubles Et du revenu de ses immeubles Tout aussi que s'il Estoit En age de Majorité layant qu'ant à ce habileté Et dispensé...".* Il est célibataire. Il sera avant tout navigateur à son compte et tous ses profits serviront à développer sa seigneurie. En 1705, il loue la Sainte-Anne, navire de 20 tonneaux pour aller à Plaisance (Anticosti). Il en deviendra propriétaire puisqu'il l'échange pour un deux mâts de 5 à 15 tonneaux à Joseph Riverin, marchand de Québec, contre 966 livres. Il est dit que sa nouvelle barque est "gisante" au Cul-de Sac, présentement chargée et prête à partir pour la Baie Verte (Louis Chambalon, 0 8 Mai 1709). De 1713 à 1723, il fut le navigateur ou le capitaine de la Sainte-Anne pour le compte du Séminaire de Québec de la Baie Saint-Paul à Ville-Marie, avec gages du tiers du fret recueilli des voyages chaque année. (Québec Histoire, abbé H. Provost vol. 1 No 3 et 4).Au cours de l'année 1709, le seigneur concède 13 terres par contrat passé devant le notaire Bernard de la Rivière. Parmi ces nouveaux, qui complètent la deuxième concession, nous lisons les noms de Godin et Pleau, toujours présent en 1972. C'est probablement à compter de l'année 1709 que nous appelons "village" le territoire compris dans la deuxième concession. A cette date, le chemin seigneurial longeait la falaise du fleuve où étaient construites les chaumières et le manoir, car dans les actes, il est bien dit "Laisser un arpent sur la devanture de la dite concession pour le chemin communal." Deuxième MoulinLa paix de 1701 avec les Agniers permit aux seigneurs de développer sans crainte leurs terres et de s’éloigner en profondeur. Jean-Baptiste Toupin-Dussault, deuxième seigneur, songea à ériger un bon moulin dans sa troisième concession où coulait trois rivières à fort courant. La rivière Jacques-Cartier, la rivière aux Pommes et la Petite Rivière nommée plus tard la rivière Marcot. Il choisit le confluent de cette dernière dans la rivière Jacques-Cartier. De plus, il se trouvait sur une terre de son propre domaine.
Un acte du 23 mai 1709 nous donne la réponse suivante où était la route du deuxième moulin seigneurial, la première route étant celle du manoir. Cet acte nous dit que le seigneur Jean-Baptiste Toupin-Dussault concède à Pierre Silvestre une terre sous la réserve suivante : quarante arpents de route seigneuriale. Cette terre passa par la suite à Antoine Délisle. En 1790, Matthew MacNider, qui avait acquis tous les droits seigneuriaux passe un nouveau contrat avec Délisle par lequel il se désiste tant pour lui, ses hoirs et ses ayants causes, du droit qu’il a comme seigneur du dit Belair, de prendre du bois sur cette terre, tant pour la bâtisse des moulins, manoirs et autres bâtiments que les réparations d’iceux. En retour, le dit sieur Antoine Délisle s’est obligé, tant pour ses hoirs et ayant causes de fournir et lever sur sa terre et en tel endroit qu’il sera le plus commode au dit sieur MacNider, le terrain pour un chemin suffisant pour aller au moulin de la dite seigneurie de Belair. Cette terre concédée originalement à Sylvestre, passa successivement aux Délisles, Pleau, Savard, Germain, Leclair, Picher pour appartenir de nos jours à M. Charles Doré. La tradition faisait descendre les colons dans une côte dite à Jean Pleau. Du pied de cette côte, on traversait au moulin en passant sur un îlot. L’hiver, les censitaires passaient beaucoup plus haut pour arriver au lieu désigné "le Calvaire" chez un nommé Delisle. Peut-être serait-il à propos de donner ici les noms des propriétaires de cette troisième concession lors du dernier cadastre officiel de la seigneurie en 1859. La troisième concession dite « Rang du Grand Bois de l’Ail » comprenait 26 terres dont voici les noms. Numéro 59, Vve Pierre Morisette. 60, Charles Chevalier. 61, Jean-Baptiste Richard. 62, Charles Germain. 63, Louis Marcotte. 64, Camillien Piché. 65, Jean-Baptiste Richard. 66, 67 et 68, Louis Galarnaud. 69, Joseph Déry. 70, Jean Petit. 71 et 72, Clément Chaillé. 73, Antoine Petit. 74, Augustin Dion. 75 et 76, Augustin Lesage. 77, Joseph Déry. 78, Vve François Lamothe. 79, Denis Denis. 80, Joseph Brière. 81, Jean-Baptiste Savard. 84, Ferdinand Papillon. À l’érection canonique de la paroisse de Les Écureuils, cette troisième concession fut cédée au Cap-Santé en raison de la rivière Jacques-Cartier dont le passage était très dangereux à certaines périodes de l’année. Il en fut de même à l’érection civile. En 1724, le 31 mai, Marie-Louise Lesage, jeune enfant de sept ans, fille de Nicholas Lesage, et de Marie-Françoise Paris fut trouvée noyée dans la petite rivière au-dessus du moulin seigneurial. Le 30 janvier 1774, Marguerite, vingt ans, fille de Jean-Baptiste Thibaudeau, meunier de la paroisse de Les Écureuils, périt entre la dalle et la roue du moulin.
De nouveau chez Chambalon le 12 Octobre 1707, fut présent Jean Toussaint Toupin, habitant la ville de Larochelle y demeurant dans la paroisse de St-Sauveur. Dans cet acte, il confesse avoir reçu de Doyon le paiement complet des arrérages dont il est fait mention dans l'acte de 1700. Il est donc retourné faire souche en France et son passage à Québec à deux reprises nous donne l'impression qu'il est navigateur à long court.
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Source :
- Le dictionnaire biographique des ancêtres Québécois, par Michel Langlois
- Le dictionnaire généalogique des familles du Québec, par René Jetté
- Les Toupin Du Sault, Sieurs de Belair, Seigneurs des Écureuils 1672-1789, par Eugène-F. Dussault
- Liste des patronymes sur Internet
- Fondation de la Seigneurie de la pointe aux Écureuils et de Belair
Par : Jacques Dussault. Archives nationales Université Laval
- Journal Le Soleil, Québec, dimanche 17 décembre 1950
Par : Clément-T. Dussault, directeur, Société Historique de Québec.
Ma lignée directe
Première Génération Toussaint Toupin de Normandie, 1616/1676 Marié en 1ière noces, à Trois-Rivières, le 25 décembre 1645, Marguerite Boucher, 1631/1669 ___________________________________________________________________________ Deuxième Génération Jean dit Jean-Baptiste Toupin, 1648/1700 Marié en 2ième noces à St-François-de-Sales, Neuville, le 21 juin 1688 Marie Magdeleine Mézeray, 1674/1714 ___________________________________________________________________________ Troisième Génération Jean-François Toupin dit Dussault , 1700/1763 Marié à St-François-de-Sales, Neuville, le 22 janvier 1731 Marie Magdelaine Constantineau, 1704/1781 ___________________________________________________________________________ Quatrième Génération Jean-Baptiste Toupin dit Dussault, 1737/ 1792 Marié à St-Pierre, Île d'Orléans, le 15 juillet 1765 Marie-Marthe Paulet, 1737/1824 ___________________________________________________________________________ Cinquième Génération Jean-Baptiste Dussault,1767/ Marié à St-François-de-Sales, Neuville, le 20 janvier 1794 Angéline Béland, 1764/ ___________________________________________________________________________ Sixième Génération Alexis Dussault, 1802/ Marié en 1ière noces à St-François-de-Sales, Neuville, le 27 juillet 1829 Flavie Domithilde Dubuc, 1800/1842 ___________________________________________________________________________ Septième Génération Louis Dussault, 1840/ Marié en 1ière noces à St-Roch, Québec, le 22 juillet 1868 Marie-Esther Langlois
__________________________________________________________________________ Huitième Génération Joseph-Arthur Dussault, 1875/1937 Marié à St-Sauveur, Québec, le 27 novembre 1893 Célina-Bernadette Canac dit Marquis, 1874/1948 ___________________________________________________________________________ Neuvième Génération Arthur Dussault, 1894/1949 Marié à St-Roch, Québec, le 26 septembre 1921 Marie-Alvine dite Maria Leclerc, 1898/1957 ___________________________________________________________________________ Dixième Génération Alain Dussault, 1935/ Marié à Christ-Roi, Lévis, le 26 décembre 1960 Carmen Fleury, 1939/ ___________________________________________________________________________ Onzième Génération Denis Dussault, 1963/ Marié à Christ-Roi, Lévis, le 25 juin 1990 Sophie Girard, 1971-
Marié à Simon Vanier, Laval, le 20 septembre 1997 Émilio Orsini, 1960/
Martin Dussault, 1968/ Marié à St-Yves, Laval, le 17 août 1991 Caroline Goyette, 1971/ ___________________________________________________________________________ Douzième Génération Olivier Dussault, 1991/ Myriam Dussault, 1994/ Maxime Dussault, 1995/ Benjamin Dussault, 1997/ William-Thomas Dussault, 1999/
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Par Alain DUSSAULT février 2007 |