ARNAULT de TAREY,
sieur de
LAUBIAS |
|
Capitaine |
ARNAULT de TAREY, sieur de
LAUBIAS: Capitaine
Le 14 septembre 1665, il assiste aux abjurations des soldats
Huguenots de sa compagnie.
Sa compagnie est
cantonnée à Trois-Rivières durant les trois années du séjour du régiment
sur nos rives.
Il était commandant de Trois-Rivières jusqu’au 10 juin 1668, et ne cessa
d'y demeurer jusqu'à son départ pour la France en automne de la même
année.
Il revient en 1670 et est parmi les officiers qui font le voyage
de Cataracoui avec Monsieur de Courcelles et autres.
Le 29 octobre 1672,
il reçoit officiellement de l’intendant Talon, les titres de sa
seigneurie de Nicolet, (Cressé ou Laubias).
Il repasse en France et à
partir de Paris, vendit sa seigneurie au sieur Michel Cressé le 27
février 1673. Il ne revint pas au pays.
Voir Bataille du St Gottard
( Tanguay, vol.1, p.398; Jetté, p.744; B.R.H., vol.27, p.62-64; Sulte,
Mélanges historiques, vol.8, p.125; Langlois, p.477)
|
non |
RENÉ GAULTIER Sieur de VARENNES |
|
Lieutenant |
RENÉ GAULTIER Sieur de
Varennes: Lieutenant
C'est à quelques
35 milles d'Angers, dans une petite paroisse dite Bécon les Granits;
49370, Maine-et-Loire; Pays-de-la-Loire,
Il est baptisé le 2 juin 1636 dans la dite paroisse.
Il était le fils d'Adam Pierre Gaultier, écuyer, sieur
de la Vérandière et sa mère, Bertrande Gourdeau.
Il est chevalier. Il est sieur de
Varennes et du Tremblay.
Il reçoit le
scapulaire du Mont-Carmel le 22 novembre 1665 à Québec.
Cette compagnie
est cantonnée à Trois-Rivières en 1666.
Il épousa le 26 septembre 1667, (Contrat
du
22 septembre, not. Severin Ameau) Mlle Marie Boucher,
Jeanne au
rec.1681), âgée de 12 ans, fille de Pierre Boucher de Grosbois, gouverneur de
Trois-Rivières et de Jeanne Crevier
sa mère.
Voir acte de mariage
Marie Boucher a été baptisée le 8 mars 1655 à Trois-Rivières.
Le contrat de mariage pasé devant le
notaire Séverin Ameau le 22 septembre, stipulait que Pierre Boucher
nourrirait sa fille et le futur époux durant une période de 6 mois et
que l'on prierait M. de Rémy de Courcelle, gouverneur de la
Nouvelle-France, de bien vouloir obtenir pour Varennes la charge et les
provisions de son beau-père.
Pierre Boucher voulant
aller s’établir dans la seigneurie de Boucherville, cède son poste de
gouverneur à son gendre René Gauthier. Par la suite, il reçoit de Jean
Talon, les seigneuries de Varennes et du Tremblay.
Avant qu'il n’ait
doublé le cap de la cinquantaine, la santé de René Gaultier périclita.
Il était atteint de la goutte, ce qui l'empêchait fréquemment de
marcher.
Il décéda le 4 juin 1689, à l'âge de 55 ans, et fut inhumé
le même jour dans l'église de Trois-Rivières.
Sa femme, durant ses derniers jours,
demeurait chez son fils Jacques-René, et était devenue infirme par les
années. Rendue dans sa 80ième année, elle quitta ce monde le 13 mars
1734. (11 enfants).
(Tanguay, vol.1, p.258; Jetté, p.475;Drouin, vol.1, p.559; Sulte,
Hist. vol.5, p.64 (1); B.R.H., 1922, p.268; Doris Horman:
Tricentenaire de Varennes 1672-1972; D.B.C., vol.1, p.335-336; Hist.
de Montréal, t1, p.179, 225 et 235; MSGCF, vol.IX, p.85-93 et XII,
p.50-54; DBAQ, t2, p.328; Langlois, p.346)
Albert Tessier - Historien, Préfet des études au
séminaire des Trois-Rivières. (Documents inédits, Les Gaultier de La
Vérenderie en France et au Canada et leurs relations par delà l`Océan,
éd. Antonio Champagne, RHAF, XII (1958-59): 262-267, 411-42; XIII
(1959-60): 97-122; Documents et renseignements inédits sur La Vérendrye
et sa famille, éd. Antonio Champagne, BRH, LXII (1956): 60-75, 171-193.
Documents sur Pierre Gaultier de La Vérendrye, éd. Jean-Jacques
Lefebvre, RAPQ, 1949-51: 33-67. NYCD (O`Callaghan and Fernow), Ix. -Ivanhoe
Caron, René Gaultier de Varennes, gouverneur des Trois-Rivières, BRH,
XXIII (1917): 117-125. -Aegidius Fauteux, Les Gaultier de Varennes et de
La Vérendrye, BRH, XXIII (1917): 244-249. -Benjamin Sulte, Les Gaultier
de Varennes, RC, X (1873): 781-789, 849-856, 935-950; Les Gouverneurs
des Trois-Rivières, BRH, II (1896): 69, 72; Officiers de Carignan, BRH,
XVII (1911): 193-197; La Vérenderie avant ses voyages au Nord-ouest, BRH,
XXI (1915): 111.).
|
oui |
PIERRE MOUËT
sieur de MORAS |
|
Enseigne |
PIERRE MOUËT sieur de MORAS:
Enseigne
Né vers 1639 de
Bertrand Mouet et de Marthe de Thesin, résidants de Castelsarrasin, 82101,Tarn
et Garonne; Midi-Pyrénées.
Il se marie à Trois-Rivières le 8
avril 1668
Voir acte de mariage
(Contrat du 20 mars, Not. Ameau), à Dlle Marie Toupin, canadienne
de naissance, née le 19 août et baptisée le 29 septembre 1651 à Québec.
Elle était la fille de Toussaint Toupin, bourgeois et maître de barque,
et de Marguerite Boucher de Québec.
Vers 1668, Mouet se bâtit une maison sur une Île située à
l’embouchure de la rivière Nicolet nommée présentement de Moëte.
Ils s' y établirent dès 1669 sur l'île
appelé alors Moras à l'entrée de la rivière Nicolet, et vécurent comme
cultivateurs.
Il espérait une fois établi, en obtenir la concession de l’intendant
Jean Talon.
Sans titres de propriété, Pierre Mouet concède pourtant des terres.
C’était sans compter sur les prétentions de son ancien capitaine,
Laubia à la même propriété.
Lorsque le 29 octobre 1672 la seigneurie de Nicolet est octroyée à
Laubia, Moras voit ses quelques treize censitaires transférés au
nouveau seigneur mais l’île demeure le fief de Moras en récompense de
son zèle pour la colonisation.
Pierre Mouet décède le 20 et inhumé le 24 novembre 1693 à
Trois-Rivières. Marie Toupin décède le 13 et inhumée au même endroit le
14 mars 1723.
Ménage établi à Trois-Rivières. (8 enfants).
Ses enfants Pierre et Thérèse héritent de l’île Moras en 1693. Michel
Trottier, sieur de Beaubie, époux de Thérèse se porte acquéreur de
toute l’île en 1722.
(Tanguay: vol.1, p.447, 569; Jetté, p.841, 1084; Drouin, vol.2, p.986;
M.S.G.C.F., vol.3 (4), p.225-232; Sulte, Hist., vol.5, p.75(1); Sulte,
Mélanges historique, vol.8, p.125-126, vol.10, p.101-103; DBAQ, t.3,
p.453-454; Langlois, p.419-420)
|
oui |
LAUBIAS
Dominique |
Frère du Capitaine |
Cadet |
Laubias, Dominique:
Gentilhomme volontaire, frère du capitaine. Son nom paraît au registre
d’audiences de Trois-Rivières le 27 mars 1666 et le 6 novembre 1667. Il
est retourné en France en 1668.
(Langlois, p.384)
|
non |
DUBOURG
Jean |
|
Cadet |
Dubourg, Jean :
Cadet.
Il assiste au contrat de mariage de l’enseigne de sa compagnie, Pierre
Mouet de Moras devant le notaire Ameau le 20 mars 1668.(Langlois, p.305)
|
non |
Jacques LABADIE |
|
Sergent |
Jacques Labadie : Sergent
Le 16 novembre
1671 (1684 pour Jetté ?), il y commandait la garnison de Trois-Rivières,
avec le grade de sergent-major, et assistait aux mariages de trois
colons de la seigneurie de Nicolet qui appartenait alors au capitaine
Arnoult de Laubias. Par acte du 10 février et 3 novembre 1672, on lui
accorda un fief dans la banlieue des Trois-Rivières. Il s'y établit et
légua plus tard par testament en date du 4 juin 1695 à René Godefroy, à
condition que le titulaire porterait son nom. En 1705, il était
capitaine de milice de Trois-Rivières. Labadie resta célibataire. Il
décède le 4 février 1707 aux Trois-Rivières.
(Tanguay vol.1, p.331; Jetté, p.618; Sulte, Mélanges historiques,
vol.8, p.126; J.C.S., vol.2, p.386, 863; Langlois, p.371)
|
oui |
Joseph Paul Cartier |
La Rose |
Sergent
|
Joseph Paul Cartier
dit Larose
Fils de Joseph et d' Elizabeth Fromont de St Martial (16190,
Charente; Poitou-Charentes ).
Il est de la cie Laubias.
Le
17/09/1674, il épouse à Montréal Marguerite Celle-Duclos,
Voir acte de mariage
Fille de
Gabriel et de Barbe Poisson
Au recensement de 1681, il est dit avoir
34 ans et posséder deux fusils, trois bêtes à cornes et six arpents de
terre en valeur.
Il sera
tué lors de la bataille contre les Iroquois le 02/07/1690, bataille dite
Combat de la Coulée Grou, ou " Le combat de
la Rivière des Prairies",
à l'âge de 43 ans.
Il avait eu 6 enfants dont deux décédés en bas âge et
trois qui se sont mariés par la suite.
1) Catherine : baptisée vers 1675, sépulture le 19/02/1690 Montréal
2) Barbe : baptisée 11/09/1678
Pointe-aux-Trembles de Montréal, elle épouse Paul-Charles Dazé
3) Joseph : baptisé 02/02/81681
Pointe-aux-Trembles de Montréal, épouse Marie-Agnès Renaud
4) Angélique : baptisée 17/08/1684
Pointe-aux-Trembles de Montréal,
sépulture 30/09/1688
Pointe-aux-Trembles de Montréal
5) Jean : baptisé 28/12/1686
Pointe-aux-Trembles de Montréal, sépulture 08/09/1688
Pointe-aux-Trembles de Montréal
6) Jeanne : baptisée 03/11/1689
Pointe-aux-Trembles de Montréal, elle épouse Dominique Etienne
Sa veuve épouse Nicolas Perthuis le 9 novembre 1692
Pointe-aux-Trembles de Montréal, dont
elle aura deux autres fils.
Sources:
( Mémoires de la société
de généalogie Canadienne-Française, vol 41, n°2 été 1990 , pages 107 à
123; Le Combat de la coulée Grou écrit par Jean Joly )
|
oui |
François Maséré |
|
Chirurgien |
Maséré, François :
Son nom paraît au registre d’audiences de Trois-Rivières le 10 avril
1666 suite à des démêlés avec Jacques Ménard dit Lafontaine en rapport à
un fourreau pour son épée. Après 1667, il n’est plus question de lui au
pays.
(Langlois, p.407)
|
non |
Pierre Abérou |
La Rose |
Soldat |
Aberou dit Larose, Pierre : (Abirou pour Jetté, Abiron pour Drouin, Haveroux pour Dumas)
Fils de Jean Aberou, manœuvrier et d’Anne Rigaud de la paroisse Puylaurens (
81700,Tarn; Midi-Pyrénées.).
Il contracte mariage devant le notaire
Pierre Duquet le 23 octobre 1669 avec
Anne Méry, fille du roi et fille
de feu Claude Méry et de Marie Guestier, de la paroisse Saint-Benoît de
Paris en Île-de-France. Elle apporte des biens de 100 livres et un don
du roi de 50 livres. Contrat annulé par la suite.
Il est dit résident
de Boucherville.
De nouveau, il prend pour épouse en date du 29 avril
1675 à la Pointe-aux-Trembles de Montréal,
Voir acte de mariage
(Cont. 12 avril, Not. Frérot)
Marie-Anne Despernay, fille de feu Laurent Despernay, maître menuisier
et de Jeanne Cambron, de la ville de Soissons (
02200, Aisne; Picardie.)
Marie-Anne Despernay
était née vers1659
à
Soissons; 02200; Aisne; Picardie.
Au recensement de 1681, on retrouve ce couple à Varennes. Il est nommé
ABIRON il est dit âgé de 58 ans, Marie Depernay sa femme 22 ans, enfants
: Jean 7 ans, Madelaine 2 ans, ils possèdent 6 bêtes à cornes et a 11
arpents en valeur.
Pierre Aberou
décède le 21 novembre 1687. La sépulture se fera à Boucherville le
lendemain, 22.
Couple avec 4 enfants:
1) Jean-Baptiste :
né 28/07/1677 Ste Anne de Varennes
et baptisé 01/08/1677 Boucherville
2) Marie Madeleine : baptisée le
18/01/1680 à Boucherville
3) Marguerite-Agathe : née à Varennes et baptisée le 18/02/1683
Boucherville, décédé 04/12/1687 Varennes et sépulture le lendemain à
Boucherville
4) Angélique : née 13/04/1686 à Varennes et baptisée le 16/04/1686
Boucherville.
Devenue veuve, elle prend en seconde noces
Denis Charpentier dit Sanfaçon en date du 23 août 1688 à Boucherville,
fils de François Charpentier maître drapier et de Marie Meteyer de
la paroisse de St-Denis de Coulommiers, ville et évêché de Meaux
( 77100,
Seine et Marne; Ile de
France ).
En
1688, il était sergent de la compagnie de Lorimier. Elle aura 6 enfants
de ce dernier époux.
Ce dernier est
inhumé le 7 mars 1714 à St.Sulpice
Marie-Anne Despernay est décédée
avant le 4 février 1715 à St.Sulpice.
(Tang. vol.1, p.1; Jetté, p.1; Drouin, vol.1, p.1; Dumas, p.297;
Landry, p.346; Sulte, Hist., vol.5, p.73(1); DBAQ, t1, p.21; Langlois,
p.202;
|
oui |
Jean ARCOUËT |
La Jeunesse |
Soldat |
Arcouët dit
Lajeunesse, Jean:
Huguenot. Né vers
1645/1646 de Pierre
Arcouet, marchand drapier, et d'Élisabeth Martin, de
la paroisse St-Pierre de la ville de Marennes, 17320; Charente Maritime;
Poitou-Charentes. (Saintonge)
Abjure sa foi le 19/09/1665 à Québec
Soldat de la
garnison de Trois-Rivières en 1671,
Il épouse en première noce, le 16
novembre 1671 (Cont. 16 août, Not. Ameau), Élisabeth Pépin,
âgée de 12 ans, née vers 1659 à Trois-Rivières. Voir
acte de mariage
Elle était la fille de
Guillaume Pépin dit Tranchemontagne, et de Jeanne Méchin, de
Saint-Laurent-de-la-Barrière,17380;
Charente Maritime; Poitou-Charentes en Saintonge.
Elle
décède le 30 et inhumée le 31 décembre 1697 à Champlain.
Couple avec 11 enfants.
En deuxième noces, il épouse en date du 18 juillet 1701 à Batiscan (Cont.
27 juin, Not. Trottain),
Antoinette Lenoir dit Pilois, fille de Jean
Lenoir et d'Antoinette Pilois, et veuve d'un premier mariage ( en date du
29 octobre 1669 à Québec (Cont. 24 octobre 1669, Not. Duquet), avec
Jacques Le Bœuf.
Voir acte de mariage
À son premier mariage, elle avait apportée des biens
estimés à 300 livres et un don royal de 50 livres. Ce couple Le
Bœuf /
Lenoir avait eu 3 enfants.
Auparavant, un contrat de mariage avait été
annulé en date du 29 septembre 1669 entre Julien Meunier et Antoinette
Lenoir chez le notaire Becquet.
Antoinette Lenoir décède après le 18
juillet 1701.
Jean Arcouet décède le 7 et inhumé le 9 août 1727 à
Champlain.
Ménage établi au même endroit. Aucun enfant.
(Tanguay, vol.1, p.11, 472. Il ne fait pas mention du deuxième
mariage; Jetté, p.19, 872, 673; Drouin, vol.1, p.19; Dumas, p.281;
Landry, p.339; Sulte, Hist., vol.5, p.62(2); B.R.H. 1909, p.19; DBAQ,
t1, p.50-51; Langlois, p.208)
|
oui |
François Arnould(Renaud) |
Desmarchés |
Soldat |
Arnould (Renaud) dit
Desmarchés, François :
(Arnaud pour
Jetté) Natif de la ville de Ruffec au Poitou, il était le fils de
Guillaume Arnauld et de …..Perret.
Il cantonne au Cap-de-la-Madeleine
jusqu’au départ du régiment en 1668.
Il demeure au pays et s’établit à
Trois-Rivières, puis à Nicolet. Il s’adonne à la traite des fourrures.
Il décède à Nicolet et inhumé à Trois-Rivières le 3 février 1716 âgé de
70 ans.
(Jetté, p.20; Langlois, p.209)
|
oui |
Pierre Audouin |
Sansoucis |
Soldat |
Audouin dit Sansoucy,
Pierre:
Né vers 1645 (rec.1681). On le dit de la ville de Cadillac, archevêché
de Bordeaux en Guyenne (Gironde).
Il reçoit le scapulaire à Québec le 27
septembre 1665.
Il a été inhumé le 26 avril 1673 à Trois-Rivières.
(Tanguay, vol.1, p.17; Jetté, p.31; Langlois, p.210)
|
oui |
François Audouin |
La Verdure |
Soldat |
François Audouin dit Laverdure , de Limoges,
Haute-Vienne; Limousin.
Maître
tailleur;
décédé après le 06/07/1708; à Montréal.
Mariage
le 10/02/1687 à Contrecœur avec Gibault Suzanne (Gabriel et
Suzanne Durand)
Voir acte de mariage
Il y a eu un procès entre les époux qui
débuta en 1706 jusqu'en 1708.
La dernière ordonnance de l'intendant Jacques Raudot s'adressant aux
deux, date du 6 juillet 1708.
Donc on peut en déduire que les deux époux sont décédés après cette
date.
Sans postérité
Sources:
Un grand merci à Monsieur Bernard Laporte de St Jérome.
On peut lire les 3 ordonnances de l'intendant sur Google books. Le titre
du livre est : Montréal sous le régime français: répertoires, édits,
mandements, ordonnances et règlements: conservés dans les archives du
Palais de justice de Montréal 1640-1760, Édouard-Zotique Massicotte,
1919.
Le procès apparaît aussi dans "Jugements et délibérations du Conseil
Souverain de la Nouvelle-France".
|
oui |
Louis Denis |
Le Petit la Fontaine |
Soldat |
Denis dit Le Petit
Lafontaine, Louis :
Fils de
Pierre Denis et d’Antoinette DENYSE, de Saint-Georges de La Haye-Descartes,
ar. de Loches, archevêché de Tours en Touraine (Indre-et-Loire).
Il est baptisé le 23/12/1642 paroisse St Georges de La Haye-Descartes
Il
reçoit la confirmation le 6 juin 1666 à Trois-Rivières.
Il prend pour
épouse à Québec en date du 12 octobre 1671
Voir acte de mariage
(Contrat du 9 octobre, notaire
Becquet) Marguerite Sellerin, fille de feu Jacques Sellerin et de
Marguerite Charpentier de la paroisse Saint-Sulpice, 6ème arrondissement de Paris en
Île-de-France.
Elle était une fille du roi apportant à son arrivée des
biens estimés à 300 livres et un don du roi de 50 livres.
Marguerite Sellerin se noie à Boucherville, en compagnie de Clément
Colardeau et Marie-Madeleine Canard Ils sont inhumés à Longueuil le 30 octobre
1672. En la paroisse St Antoine de Padoue.
(Aucun enfant)
Le 8 décembre 1672 chez
le notaire De La Chesnaye Frérot Thomas, il y a donation :
Donation d’une terre située en la seigneurie de Monsieur de
Varenne, par Louis Denis dit Lafontaine, de la seigneurie de
Monsieur de Varenne, à la Fabrique de la paroisse
Ste-Famille-de-Boucherville et au filleul de sa femme qui est le
garçon de Claude Charles dit Lajeunesse.
Il s’agit en fait de Clément Charles, fils d’Etienne Charles dit
Lajeunesse et de Marguerite Niel baptisé à Boucherville le 28
octobre 1671. Catherine Sellerin, épouse de Louis Denis, y est
nommée Marguerite Sellera.] |
Devenu veuf, il épouse en seconde noces à Québec,
Catherine Isambert
en date du 9 septembre 1673
voir acte de mariage
(Cont. 7 septembre, not.
Becquet),
Fille de François Isambert et de feue Anne Dimanche de la
paroisse Saint-Livier de Metz en Lorraine (Moselle).
Elle est baptisée le 10/11/1651 paroisse St Livier, Metz, Moselle.
Louis Denis et son
épouse décèdent entre le 21 avril 1679 et le recensement de 1681.
Ménage établis à Varennes. (Aucun enfant)
(Tanguay, vol.1, p.181, 315; Jetté, p.334; Drouin, vol.1,
p.381; Dumas, p.334, 261; Landry, p.371, 327; Langlois,
p.295;
http://marigot.ca/Repertoire2/html/fiches/D_3878.html)
|
oui |
Des Pigerault |
Desbarreaux |
Soldat |
Des Pigerault dit
Desbarreaux, Mariat :
Nous n’avons rien de spécial sur ce soldat, si ce n’est qu’il achète une
terre de trois arpents de front à la rivière Manereuil d’Étienne Place
en date de février 1671.
Nous perdons sa trace par la suite.
(Langlois, p.299) ?
|
oui |
Du Boulay |
|
Soldat |
? |
oui |
Pierre DURAND |
Des Marchets/
La Roye |
Soldat |
Durand dit des Marchets Pierre:
Baptisé 14 mai 1638 paroisse Saint-Nicolas à Blois 41000
Fils de Pierre Durand et de Marie Chartier de la
paroisse Notre-Dame-des-Aides de la ville de Blois, 41000, Loir-et- Cher,
Centre. (Orléanais).
Il épouse en date du 17 octobre 1673 à Québec (Cont. Not. Becquet)
Voir acte de mariage
Jeanne Chartier, migrante, baptisée le 9 août 1652, fille de René Chartier et de
Madeleine Ranger, de
la paroisse Saint-Jean-de-Montierneuf, de la ville de Poitiers, 86000,
Vienne, Poitou-Charentes. (Poitou).
Elle arrive en Nouvelle-France avec son père, et ses frères en 1667,
leur mère ayant été inhumée à Poitiers vers 1645.
Ce couple ira
s’établir à Champlain.
Pierre Durand décède le 17 août 1700 à
Champlain.
Voir acte décès
Couple avec 9 enfants.
1) Pierre : né vers 1674, épouse Marie-Thérèse Mandin en 1704 à Montréal,
est sur le recensement de 1681 au fief Hertel
2) Reine : née vers 1676, est sur le recensement de 1681 au fief Hertel
3) Jeanne :
née vers 1678, est sur le recensement
de 1681 au fief Hertel
4) Marie : baptisée 11/12/1680 Champlain,
est sur le recensement de 1681 au fief
Hertel
5) Jean-Baptiste :baptisé 02/08/1683 Champlain
6) François : baptisé 13/04/1686 Champlain
7) Marie Josephe : baptisé 08/08/1688 Champlain, sépulture 25/11/1708
Batiscan
8) Marie-Catherine : baptisée 15/09/1692 Champlain
9) Vivien : baptisé 26/01/1697 Champlain, mariage avec Marie-Barbe
Perrin
Sa femme devenue veuve prend pour second époux
en date du 1er septembre 1710, René Beaudoin à Champlain (Cont. 23 août,
Not. Normandin).
Ce dernier était veuf d'un premier mariage avec Marie Raclos (Cont.12 octobre 1671, Not. Becquet), et d'un deuxième mariage
avec Marie-Anne Besnier.
René Beaudouin avait eu sept enfants de son
premier mariage et ? enfants de son deuxième. Aucun enfant de son
troisième mariage avec Jeanne Chartier.
Tout de même, elle avait due,
en plus de ses 9 enfants, élever 7 enfants des mariages de son
second mari.
(Tanguay, vol.1, p.220, 161; Jetté, p.394, 64; Drouin, vol.1, p.465;
Dumas, p.320; Landry, p.361; Larin, p.168,166; Sulte, Hist., vol.5,
p.63(1), 62(3); DBAQ, t.2, p.170-171; Langlois, p.320-321)
|
oui |
Moïse / Jean FAURE |
St Vivien |
Soldat |
Faure dit
Saint-Vivien, Moïse :
Huguenot. Né vers 1628/1629 de Jean Faure et de Jeanne de la Porte,
du village de St-Vivien, 24230; Dordogne; Aquitaine. (Périgord)
Il abjure sa foi le 14/09/1665 à Québec
et prend le prénom de Jean.
Confirmé au fort de Sorel le 02/06/1666
Il prend pour épouse une fille du roi,
Marie Lépine le 29 octobre 1677 à Québec
Voir acte mariage
(Contrat du 28 octobre. Not. Duquet).
Elle était la fille de feu Pierre Lépine et de Andrée Griffon, de la
paroisse
St-George de la ville de Périgny,
17180;
Charente- Maritime; Poitou-Charentes.( Aunis.)
Elle est baptisée
le 01/05/1644 à St Georges
de Périgny Charente-Maritime
Elle avait
été précédée au pays par sa sœur Andrée.
Au recensement de 1667, elle
était servante chez Denis Guyon à Québec.
Ménage établi à Ste-Anne-de-la-Pérade. (4 enfants).
1) Claude : né vers 1679, est sur le recensement de 1681 à Ste Anne
2) Marie-Angélique : née 08/01/1681 et baptisée le 9 La
Pérade, est sur le recensement de 1681 à Ste Anne
3) Ignace-Michel : né le 04/03/1684 et baptisé le 05/05/81684 La
Pérade
4) Jeanne : née vers 1688, inhumée le 23/08/1692 Québec à 4 ans
Au recensement de 1681, il est dit
ceci : Moyse Faure 52 ; Marie Lespine, sa femme, 32 ; enfants : Claude
2, Marie 6 mois ; 1 fusil ; 3 bêtes à cornes ; 4 arpents en valeur.
Elle décède après le 2 août
1697.
Moïse Faure décède entre le 23 novembre 1687 et le 23 août 1692.
(Tanguay, vol.1, p.228, 384; Jetté, p.413; Drouin, vol.1, p.483; Dumas,
p.283; Sulte, Hist., vol.4, p.64; Landry, p.341; Langlois, p.325)
Recensement
de 1667, 1681 en
Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des
Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@gel.ulaval.ca)
le 17 mars 1998. ;
Fichier Origine ;
https://www.fichierorigine.com/recherche?numero=242516
;
|
oui |
Jacques Gauthier |
L' Orange |
Soldat |
Gauthier dit l’Orange,
Jacques :
Huguenot du Poitou , il est arrivé le 12/09/1665, il
abjure sa Foi le 14/09/1665 à la
Chapelle de L' Hôtel-Dieu de Québec; il est dit soldat de la Compagnie
de Laubias.
Son capitaine
Arnault de
Tarey, Sieur de Laubia est à ses côtés lors de son abjuration,
ainsi que de celle de plusieurs autres de ses camarades de compagnie.
La cérémonie demandait une préparation de quelques jours, sauf extrême
urgence.
Il devait être l’un des malades
parmi la centaine qui se trouvaient à bord du navire Le St Sébastien à
leur arrivée à
Québec.
Sa compagnie sera cantonnée dans la région de Trois-Rivières pour
l’hiver. Il a été confirmé le 6 juin 1666 au même endroit, et
reçoit en même temps
le scapulaire du Mont-Carmel.
Il suit
avec sa compagnie les campagnes du régiment. Lors du départ du régiment
il reste en Nouvelle-France.
C' est ainsi que nous le retrouvons:
Il réclame un baril d'eau-de-vie à Jacques Laspron en date du
22-12-1668.
Il obtient un défaut contre lui au baillage de Trois-Rivières.
Il est cité comme témoin au contrat de mariage du 12-11-1669 (notaire
Ameau) de Jean Brard dit LaReverdra,
soldat de la compagnie de Lafouille au régiment de Carignan et Charlotte
Coy.
Il est en association avec François Moreau par un contrat du 05-11-1672
(notaire Cusson) pour la mise en valeur en commun de la ferme de
Benjamin Anseau dont il a le bail.
Il est impliqué dans des actes notariés en date du 5 novembre 1672 avec
Pierre Parenteau dit Lafontaine, et autres actes plus tard.
Il a une location en compagnie de Pierre Gilbert dit Lachasse, d'une
terre par le contrat du 31-01-1683 (notaire Adhémar) pour un an à Jean
Crevier au lieu-dit Le Rapide, le long de la seigneurie de
Saint-François.
Dernière mention le concernant: Cession d'un congé de traite en date du
12-07-1687 (notaire Basset) par Jean-Jacques Patron, obtenu de Denonville, afin qu'il aille
chercher en son nom aux Outaouais des pelleteries d'une valeur de 1532L
1S et à partager de moitié les profits à son retour.
(CS : 177, 344, 345; SC)
(Sans
alliance)
Sources:
Larin, p.258, #474; Langlois, p.344;
Registre des Huguenot web
Navires Nouvelle-France de Charles Campeau
Gilles Parenteau
|
oui |
Jean Gendron |
Le Parisien |
Soldat |
Gendron dit Le Parisien,
Jean :
Au départ
du régiment en 1668, il reste au pays et se fixe dans la seigneurie de
Champlain. Par la suite, il s’adonne à la traite des fourrures. C’est
peut être la raison du pourquoi il ne paraît pas au recensement de
1681.
Nous ignorons la date de son décès.
(Langlois, p.348-349)
|
|
Tobie Hubert |
Montauban |
Soldat |
|
oui |
André Jean |
|
Soldat |
|
oui |
Jacques Julien |
Le Dragon |
Soldat |
Julien dit Le Dragon,
Jacques:
Né vers 1644 de Jean Julien et d'Antoinette Jolain ou Jallais, de la
paroisse Saint-Rémi à Dieppe, 76200, Seine-Maritime, Haute Normandie.
(ou selon d'autres sources de Étiennette Collin, (L'acte
de baptême de son frère Jean le 27 juillet 1641 est plus clair. On lit
Thienette Collin.
Voir vue 126 de 4E 263 1634-1644 paroisse Saint-Rémy de Dieppe, conseil
général de Seine-Maritime, Archives, État civil.)
Recherches de Gilles Parenteau, que nous remercions)
Il reçoit le scapulaire du Mont-Carmel le 5 et fut
confirmé le 6 octobre 1665 à Québec, âgé de 22 ans.
Au recensement de
1666 à Trois-Rivières, il était domestique chez Nicolas Crevier.
Au
recensement de 1681, il était encore célibataire en la seigneurie de
Saint-François-du-Lac, et avait à son crédit, 5 arpents de terre en
valeur.
Il prend pour épouse Anne Labrecque en date du 12 août 1685 au
Cap-de-la-Madeleine
Voir acte de mariage
(Cont. 10 août, Not. Cusson).
Elle est née le 8 à
l'Île d’Orléans et baptisée le 9 janvier 1666 à Château-Richer. Elle
était la fille de Pierre Labrecque et de Jeanne Chotard.
Jacques Julien
décède le 6 novembre 1689 à Saint-François-du-Lac, tué par les
Iroquois.
Ménage établi à Saint-François-du-Lac. (2 enfants).
1) Jacques : né vers 1689, il épouse Marie-Catherine Patry en 1720
2) Françoise : née et baptisée 12/07/1687 à Sorel, sépulture 28/07/1688
Saint-François-du-Lac
Devenue
veuve, elle se remarie en date du 24 janvier 1691, avec Gilles Laurents
en la paroisse Saint-Laurent de l'Île d'Orléans.
Il était le fils de Simon Saint-Laurent et de Françoise ...?...., de la
ville et évêché de Nîmes en Provence (Gard).
Elle décède 19 mars 1752 à
Saint-François-du-Lac,
sépulture le même jour.
Ménage établi à Saint-François-du-Lac. (9
enfants).
Note: À ne pas confondre avec Jacques Julien marié à
Barbe Dupont.
(Tanguay, vol.1, p.329, 333, 353; Jetté, p.614, 622, 662; Drouin,
vol.1, p.711, Vol.2, p.774; Sulte, Hist., vol.5, p.75(1); B.R.H. 1909,
p.115; Langlois, p.370-371)
|
oui |
Pierre Joisneaux |
La Tour |
Soldat |
|
oui |
Jean LAMARCHE |
|
Soldat |
Lamarche, Jean :
Il est le fils
du maître teinturier Nicolas Lamarche et de Guillemette Dufresne de
St-Jean de Donchery, 08350, Ardennes, Champagne-Ardenne.
Il reçoit le scapulaire à Québec le 25
septembre 1665. Il est cantonné avec sa compagnie à Trois-Rivières où
il est confirmé le 6 juin 1666.
Il contracte mariage devant le notaire Ameau le 3 novembre 1669 avec Marie Gendre,(Legendre pour Drouin), veuve
en première noce de Jean-Baptiste Bourgery, et en seconde noces de Florent
Leclerc puis de François Michelot. Elle était la fille de Moise Gendre
et de Jeanne Cosse, de Surgères, 17700, Charente-Maritime,
Poitou-Charentes. (Saintonge).
Au
recensement de 1681, il habite au Cap-de-la-Madeleine, puis à
Trois-Rivières.
Le 22 novembre, lui et son épouse se font don mutuel de
leurs biens.
Il décède à Boucherville le 17 août 1691 et inhumé le
lendemain. (Aucun enfant)
(Jetté, p.635-636; Drouin, vol.1, p.169, vol.2, p.794, 741, 949; Larin,
p.91, #56; Sulte, Hist., vol.5, p.63(3); Langlois, p.375-376)
|
oui |
Jacques-Nicolas
LEPRINCE |
|
Soldat |
LEPRINCE, Jacques-Nicolas :
Né vers 1646 à St Malo, 35400, Ile et Vilaine; Bretagne.
Il arriva à
Québec à bord du navire «La Justice», le 14 septembre 1665. Cette
compagnie avait été cantonnée à Trois-Rivières pour l'hiver de
1665-1666.
Dans la liste des noms de soldats de la compagnie «Laubias»
du volume de Roy et Malchelosse sur le régiment de Carignan, le nom de
Leprince n'est pas indiqué comme tel. Par contre, il est indiqué à la
page 111 du même volume pour les soldats non compris sur le rôle qui
sont retournés en France, ou restés au Canada. Le fait que 11 des
surnoms de soldats inscrits à la liste n'ont pas été trouvés, il se peut
qu'un de ces surnoms soit attribuable à Jacques Leprince.
Il était âgé
de 20 ans, célibataire et domestique (valet) chez le notaire Sévérin Ameau au même endroit inscrit au recensement de 1666.
Il a épousé
Marguerite Hébert à Port-Royal vers 1672. Elle était
la fille d'Étienne Hébert et de Marie Gaudet de Port Royal en Acadie.
Née vers 1652,
décédée avant le 30 janvier 1716 à
Pisiguit ( L' Assomption)
Acadie. Le recensement
de 1678 pour Port-Royal nous confirme sa présence en Acadie, ils ont
une fille, 4 arpents de terre et 9 pièces de bétail à corne.
Au recensement de 1686 à Port-Royal, Acadie. Recensement établi par
Monsieur De Meulles intendant de Nouvelle-France et d' Acadie: Il est
dit ceci: Jacques LEPRINCE, 40ans; Marguerite HÉBERT, 35ans; 4 enfants;
5 brebis; 3 cochons.Jacques
Leprince serait décédé vers 1692, à Pisiguit, puisqu'au recensement de 1693 pour la
régions des Mines, on mentionne que Marguerite Hébert était veuve, avec
un bébé d'un an. (6 enfants)
Il est fort probable que ce soldat faisait partie des
prisonniers pris par Phips à Port-Royal, en 1690, peu avant la
désastreuse attaque de celui-ci contre Québec.
Les six enfants:
Marguerite; née vers 1676, elle épouse vers 1704 François
Tillard à Grand Pré,( Saint-Charles-des-Mines), Acadie. Puis le
27/04/1734 à Jean Hébert, veuf de Marie-Marguerite Landry;
fils de Jean et Marie Anne Doucet, à Grand-Pré.
François; né vers 1680, il épouse Catherine Benoit
le 23/05/1712
à Grand Pré,(
Saint-Charles-des-Mines), Acadie. Il décède le 24/11/1751.
Antoine; né vers 1680, il épouse Anne Trahan, le 23/05/1712
à Grand Pré,(
Saint-Charles-des-Mines), Acadie. Il décèdera à Pisiguit ( L'
Assomption) Acadie.
Anne; née vers 1685, elle épouse Etienne Rivet vers
1708.
Etienne; né vers 1688;
Jean; né vers 1692, il épouse Jeanne Blanchard, veuve de Olivier Daigre, fille de
Guillaume et Huguette Goujon, le 30 janvier 1715 à Port Royal. Il décède
le 31/12/1766
(Tanguay n'en parle pas; Jetté, p.718, mentionne qu'il est d'origine
inconnue et était domestique de Sévérin Ameau à Trois-Rivières au
recensement de 1666; Sulte, Hist., vol.4, p.62(2); Reg. des
Trois-Rivières 3 novembre 1667; Reg. de Montréal comme témoins à un
mariage à Notre-Dame le 15 avril et le 26 janvier 1671; Vincent Prince,
« L'ancêtre des Prince d'origine acadienne », S.G.C.F., vol 37, # 3,
1986, p.223 à 236; Langlois, p.394)
Sources: Dictionnaire généalogique des familles acadiennes de M.
Stephen A. Wite; Transcription originale des registres de la paroisse St
Jean Baptiste d' Annapolis Royal.
Renseignements fournis par Monsieur Michel Pellerin que nous
remercions.
|
oui |
Pierre Le Boulanger |
Le Boulanger |
Soldat |
Le Boulanger :
(Non identifié)
On en a fait le nommé Pierre Le Boulanger de la compagnie de Laubia. Ce
Pierre Le Boulanger était déjà au pays en 1657.(DBAQ, t3, p.166;
Langlois, p.140)
|
oui |
Julien Lord
( L' or, Lort, Laur ) |
La Montagne |
Soldat
|
Julien Lord / ( Laird )
Il serait né en Normandie en 1652; Il épouse Anne-Charlotte Girouard (
1660/1741 ) en 1675 à Port-Royal, en Acadie, fille de
François Girouard, dit Lavaranne et de Jeanne Aucoin.
En 1686, il était sur le
terrain de François Girouard, son beau-père. En aout 1695, il est parmi
les 47 chefs de famille de Port-Royal qui prêtent un serment de fidélité
à Guillaume d' Orange, Roi d' Angleterre. En 1714, l' habitation de
Julien Lord est située tout près du fort. Il meurt entre le 17 février et
le 3 mai 1724. L' acte de sépulture demeure inachevé.
Ce couple aura 9 enfants.
1) Alexandre; né vers 1676, à Port Royal. En 1701,
habitant, il prend pour épouse Marie Françoise Barrieau, fille de
Nicolas et Martine Hébert. Décédé à Port Royal le 5 ou 6 octobre 1740 à
l' âge de 64ans.
2) Jacques; Né vers 1678 à Port Royal. Il épouse à Port
Royal, le 19 novembre 1708, Angélique Comeau, fille de Pierre L' Ainé
dit L' Esturgeon et
de Jeanne Bourg, qui avait 2 enfants de son premier mari.
En seconde noces Jacques épouse le 18 aout 1721 à Port Royal, Marie
Charlotte Bonnevie, fille de Jacques dit Beaumont et Françoise Mius.
( Josiane Bergeron-Lord, descend de cette
lignée )
3) Pierre; Né vers 1682. Il épouse à Port Royal, le 17
juin 1715, Jeanne Doucet, fille de Laurent et de Jeanne Babin. Décédé le
17 ou 18 janvier 1738, à l' âge de 55ans, il était veuf à sa mort.
4) Marie; Née vers 1684, elle est notée avoir 17ans en
1701. Elle sera recensée à Salisbury, Massachusetts en 1758.
5) Anne, Née vers 1687. Elle épouse à Port Royal le 15
juin 1712, Mathieu Doucet, fils de Pierre et de Henriette Pelletret.
Décédée à Trois Rivières, le 21 mai 1770, à l' âge de 82ans. Elle sera
recensée à Newbury, Massachussetts en 1758 et au Connecticut en
1763.
6) Madeleine; Née vers 1692, Elle épouse à Port Royal, le
16 janvier 1714, François Amireau, dit Tourangeau, fils de
François et de Marie Pitre.
7) Louis; Né vers 1695. Il est noté avoir 8ans en 1701.
8) Marguerite; Née vers 1698. Mariée à Port Royal le 31 janvier 1718, à
Joseph Amireau, fils de François et Marie Pitre.
9) Charles; Né vers 1704. Marié à Port Royal le 19 février
1726, à Marie Josèphe Doucet, fille de Jacques, dit Maillard et de Marie Pellerin.
Décédé à Varennes le 21 ou 22 novembre 1776, à l' âge de 72ans.
Source: Généalogie Josiane Bergeron-Lord
Sources: Dictionnaire généalogique des familles acadiennes de M.
Stephen A. Wite; Transcription originale des registres de la paroisse St
Jean Baptiste d' Annapolis Royal.
Renseignements fournis par Monsieur Michel Pellerin que nous
remercions.
Annotation:
Pourquoi des soldats si jeunes
?
Il ne faut pas oublier, qu' à cette époque, des jeunes filles de
8 ans
étaient déjà mariées.
A 13 ans un garçon pouvait se marier.
A bord des navires de pêche ou de guerre, il y avait des mousses dès l'
âge de 9ans. Dans l' armée anglaise, nous trouvons également des jeunes
de 12ans.
Les Surnoms peuvent aussi nous en dire long sur leur apparence.
|
oui |
LYBAULT
Pierre |
La Rosée |
Soldat |
LYBAULT
Pierre dit La Rosée
|
oui |
PETIT Joseph |
Bruneau |
Soldat |
PETIT Joseph dit Bruneau?
Est-il vraiment un soldat du régiment
de 1665? Plusieurs membres de sa famille seraient déjà sur place.
Il est cité par Langlois comme sergent de la cie Laubias en 1673, ne
serait-il pas plutôt arrivé en 1670 avec le retour de cette compagnie.
On le retrouve à la rivière Nicolet en 1673
et on le qualifie de nouveau sergent de la compagnie du sieur de Laubia.
Il est le fils de Henri Petit et Élisabeth
Fontaine
Né vers 1645 en la paroisse Saint-Médard, 5 ème
arrondissement de Paris, Ile de France.
Il est marchand, et est confirmé le 15 août 1670 à Québec,
Le contrat de mariage de Marie Chenay et Joseph Petit dit Bruneau est
signé le 15 septembre 1675 par devant Romain Becquet.
Il épouse Marie Chenay
le 16 septembre 1675 en
l' église Notre-Dame de
Québec .
Voir acte de mariage
Fille de Sieur Bertrand Chenay de LaGarenne et Marie-Madeleine Bélanger
Joseph Petit dit Bruneau, son épouse Marie Chenay, ainsi que Pierre
Dumenil, Antoine, Jeanne Petit, Madeleine Petit et Joseph Petit dit
Bruno vivaient en 1681 à Trois-Rivières, Mauricie, Québec,
Pierre Dumenil fut domestique de Joseph Petit dit Bruneau en 1681 à
Trois-Rivières
Joseph Petit dit Bruneau possédait deux fusils et quatre bêtes à cornes
. Antoine fut domestique de Joseph Petit dit Bruneau en 1681 à
Trois-Rivières .
Pierre-Noël Legardeur de Tilly vends sa moitié du fief de Maskinongé à
Joseph Petit dit Bruneau le 22 septembre 1686 par devant Pierre
Cabassier.
Joseph Petit achète les deux seigneuries de Maskinongé, soit une lieue
et quart de superficie à Pierre-Noël LeGardeur contre son emplacement au
Cul-de-sac, Basse-Ville de Québec le 4 octobre 1700
Il décède entre le 10 janvier 1718 et le 5 juillet 1724 à Saint-Joseph,
Maskinongé, Québec .
Enfants du couple
1)-Joseph Petit dit Bruno (1676 - 1765)
2)-Madeleine Petit (1678 - )
3)-Jeanne Petit (1680 - 1710)
4)-Gertrude Petit (1682 - )
5)-Pierre Petit (1684 - 1684)
6)-Marguerite Petit (1685 - 1689)
7)-Jean-Baptiste Petit (1687 - )
8)-Marie-Josette Petit (1689 - )
9)-Marie-Anne Petit (1691 - )
10)-Geneviève Petit dit Brumeau (1695 - )
Sources:
Recensement de 1681 en Nouvelle-France,
Tanguay, volume 1, p. 124, 478
Sicard de Carufel, p.21 et 162
Le Comté de Maskinongé, p. 17
DBCF de Langlois.
|
oui |
Philippe Poitiers |
Lafontaine |
Soldat |
Poitiers dit Lafontaine,
Philippe :
Natif de Saint-Surin de Mortagne en Saintonge, il était le fils de
d’Ézéchiel Poitiers et de Marie Tabois.
Tailleur
de métier
Le jour de son arrivée, il
abjure à l’hôpital de Québec le 14 septembre 1665 en présence du
capitaine Laubias. Il doit faire parti des 80 malades recensés sur ce
bateau.
Il est accusé de tentative de viol sur les filles de
Jean Roy de Montréal le 31 mai 1672.
Après avoir demandé pardon, il est
condamné au bannissement perpétuel de la Colonie.
Cette condamnation
n’a pas eu lieu puisqu’on le retrouve à Québec par la suite et il prend
pour épouse le 16 octobre 1679 à Québec (Cont. 9 octobre, Not. Vachon)
Jeanne Vigneault, veuve de Jacques Greslon dont elle a 12
enfants et fille d’Abel Vigneault et
de Suzanne Bonneau de Brioux-sur-Boutonne, évêché de Poitiers.
Voir acte de mariage
Après
avoir été confirmé à Québec le 19 mai 1682, il repasse seul en France
pour des raisons, je suppose, familiales.
Le 7 août 1689, devant la
Prévôté de Québec, on atteste devant Jeanne Vigneault le décès de son
mari à Port-Saint-Surin il y a deux ans.
À partir de cette date, elle
fera plusieurs séjours à l’Hôtel-Dieu de Québec dont un le 20/11/1691 et
où il est dit qu'elle est âgée de 50 ans. Elle est décédée et inhumée le
20 mai 1700
Hôtel-Dieu de Québec.
(Larin, p.279; Langlois,
p.440 ,Jean Talon, Registre, Relation)
|
oui |
Elie Prévost |
La Violette |
Soldat |
Prévost dit Laviolette,
Élie:
Il était le fils de François Prévost,
notaire royal, et d'Anne Savignat, de Savignac-de-Duras,
47120; Lot et Garonne; Aquitaine. (Guyenne).
Durant les trois années suivantes de son arrivée, son cantonnement était
dans la région de Trois-Rivières.
Il épouse une
fille du roi, Marie Pothier, en date du 24 novembre 1670, à
Trois-Rivières
Voir acte de mariage
(Cont. 16 novembre 1670, Not. Ameau)
Née vers 1639
d'Aimé Pothier, maître sergé, et de Barbe Chardonneau, de la paroisse
Saint-Euverte, ville d'Orléans,45000; Loiret; Centre. Cette
fille apporta des biens estimés à 80 livres. A-t-elle reçu le don royal
de 50 livres? Le notaire Ameau ne fit jamais mention de ce détail dans
les 21 contrats de mariage qu'il rédigea pour les filles du roi.
Elle
décède après le recensement de 1681. Élie Prévost décède après le 4
février 1687.
Ménage établi à Nicolet. (4 enfants).
1) Marie-Madeleine : née 23/04/1673 Beauport, baptisée le
30/04/1673 Trois-Rivières, décès 21/12/1729 à Nicolet
2) Bernard : baptisé 26/11/1674 Trois-Rivières, sépulture
12/03/1675 Trois-Rivières
3) Marie : baptisée 05/07/1676 Trois-Rivières, sépulture 27/06/1680
Trois-Rivières
4) Dominique Elie: baptisé 07/02/1678 Trois-Rivières, vivait
toujours en 1681
(Tanguay, vol.1,
p.499; Jetté, p.945; Dumas, p.316; Landry, p.359; Sulte, Hist.
vol.5, p.75(1); DBAQ, t4, p.181-182; Langlois, p.443); Fille
du Roi, Migrations.
|
oui |
Louis
ROBERT
|
Lafontaine/
La Pommeraye
|
Soldat/
cordonnier |
Robert Louis dit Lafontaine,
La Pommeraye, cordonnier
Né 12 août 1638 à Sainte-Marguerite-de-Cogne de La Rochelle,
Charente-Maritime, en Aunis. Fils du marchand et cabaretier André Robert
et de Catherine Bonin
Fils de André Robert Cabaretier et
Catherine Bonin mariés le 20 juin 1629 à La Rochelle,
Charente-Maritime.
Il épousa Marie Bourgery, fille de Jean-Baptiste et Marie Gendre.
Elle a été baptisée 10/04/1654 Trois-Rivières. Cette dernière avait
annulé un contrat de mariage en 1664 avec Nicolas Leblanc dit Labrie.
Libéré de ses obligations militaires après la
construction des forts, il épouse le 25 novembre 1666 aux Trois-Rivières et ont pour témoin à la cérémonie, Henri de Chastellard Sieur
de Salière et le gouverneur des Trois Rivières, Pierre Boucher.
Voir
acte de mariageIl
suivra ce dernier et s' installera à Boucherville. En 1667, il possède 2
arpents de terre en valeur et va s'établir à Boucherville. En 1681, il
possède 2 bêtes à cornes et il est dit cordonnier.
Le couple eut 12 enfants; 9 garçons et 3 filles.
Louis Robert dit Lafontaine, dit Lapommeraye, meurt à Boucherville le
matin du premier jour de l'an 1711, âgé de 72 ans. Il y reçoit la
sépulture le lendemain en présence de M de la Baume, notaire royal, M.
Tétro, maître d'école, et de Nicolas Du Bray.
Acte
de sépulture
(Sources: Etude généalogique, O. Robert ;Archives Nationales du Québec)
|
oui |
Pierre Sauchet |
La Rigueur |
Soldat |
Sauchet dit Larigueur,
Pierre :
Après sa démobilisation, il s’établit à Boucherville. Il était le fils
de François Sauchet et de Marie Jousseline, de la paroisse de Breuil
(aujourd’hui Dignac), évêché d’Angoulême en Angoumois (Charente). Il ne
paraît pas s’être marié. Son nom paraît sur plusieurs contrats devant
notaire, dont trois de ces derniers en rapport à son testament. Il
décède à Longue-Pointe le 18 juillet 1717 et inhumé à la
Pointe-aux-Tremble de Montréal le même jour.
( Jetté, p.1036; Sulte, Hist., vol.5, p.72(3); MGCF (113)
p.161-162 ; Langlois, p.466)
|
oui |
THUILLIER
Crespin |
Latour |
Soldat |
THUILLIER dit Latour,
Crespin :
Il était le fils de Urbain Thuillier et de Florence Paillol, de St-Laurent de Péronne, évêché de Noyan en
Picardie (Somme).
Il est confirmé 7 jours après son
arrivée à Québec soit le 21 septembre 1665 à l’âge de 20 ans.
Il prend pour épouse en date du 12 octobre 1671, à Québec (Cont.
7, Not. Becquet), Marie-Madeleine Canard,
Voir acte mariage
fille du roi, et fille d’Henri
Canard et de Marie-Madeleine Duval (Durand pour Landry et Jetté) de
la paroisse Saint-Sulpice de Paris, Île-de-France. Elle apporte des biens estimés à
300 livres et un don du roi de 50 livres. Malheureusement, elle se noie
et est inhumée à Boucherville le 2 mars 1672. (Aucun enfant)
Devenu
veuf, il prend en seconde noces, le 18 septembre 1673 à Québec, Jeanne Braconnier
Voir acte mariage,
(Cont. 16 Not. Becquet)elle aussi fille du roi apportant des
biens estimés à 200 livres.
Elle était la fille de Nicolas Braconnier
et de Claude Brunet, de la paroisse Sainte-Marguerite,11ème
arrondissement faubourg
St-Antoine de Paris en Île-de-France (2 enfants).
Elle avait passée un
contrat de mariage le 10 septembre 1673 devant le notaire Becquet, avec
Louis Chapacou, annulé par la suite. Nous ignorons la date du décès de
Crespin Thuillier, mais certainement avant le 16 octobre 1675, date à
laquelle son épouse se marie en seconde noces à Charles Édeline,
(cordonnier et bedeau) à Boucherville, fils de David Édeline et de
Noella Lambert de St-Jacques-la-Boucherie de Paris, Île-de-France..
Jeanne Braconnier décède le 20 février 1711 à Montréal. Charles Édeline
décède à l'Hôtel Dieu de Montréal, le 27 octobre de la même année 1711.
Ménage établi à Longueuil. (10 enfants)
(Tang. vol.1, p. 576, 85, 223 ; Jetté, p.1081 et 401 ; Drouin,
vol.2, p.1310, vol.1, p.473; Dumas, p.199, 195-196; Landry, p.286,
284; Langlois, p.481-482)
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VANET
Charles |
Le Parisien |
Soldat |
VANET
Charles
dit Le Parisien;
Né vers 1649, dans la
région de Paris,
arrivé en septembre 1665,
Il était charpentier
quand il épousa vers 1674 à Sorel, Catherine Le Magnan, d'origine
canadienne, née vers 1650 probablement à Sorel, fille de Jean Le Magnan
et de Perrette Bougon. Charles Vanet est appelé à témoigner en 1680 au sujet du
meurtre de Jeanne Couc. Il est
dit avoir 32 ans au recensement de 1681 à Sorel, charpentier.
Le 15 février 1694, Catherine Le Magnan décède
à Sorel.
Ménage établi au même endroit. (7 enfants).
Devenu veuf, il
prend en deuxième noces, vers 1694 à Sorel, Marguerite Dusson ou Desault,
d'origine inconnue. Elle était veuve d'un premier mariage vers 1670 ou
1671 au même endroit avec Jean Lavallé dit Petit-Jean, menuisier. Elle
avait eu 5 enfants de ce mariage. Marguerite Dusson décède le 20
juillet 1731 à Sorel. Charles Vanet décède le 4 février 1732.
(Voir
acte décès Soldats du Régiment)
Ménage établi à Sorel. Aucun enfant..
Ce soldat est cité également comme appartenant à la compagnie de
Monsieur de Trémont (Froment)
(Tiré du Dictionnaire René Jetté pages,113, 750, 665;
Tanguay, vol.1, p.581, 354; Drouin, vol.2,
p.1326; Dumas, p.236-37; Landry, p.311; Sulte, Hist., vol.5, p.74(3);
DBAQ, t4, p.437-438; Langlois, p.487-488)
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oui |
VERRIER Pierre |
La Solaye |
Soldat |
VERRIER Pierre dit La Solaye,
Né vers 1636 de Charles Verrier et de Marthe Sigongne, de Saint-Rémi
La Varennes, 49250; Maine et Loire; Pays de la Loire. (Anjou).
Au recensement de 1681, il pratique le métier de
maître charpentier.
Il prend pour épouse en date du 21 janvier 1673 à
Montréal, (Cont. du 14 janvier, Not. Basset) Roberte Gadois,
Voir acte de mariage
Fille de
Pierre Gadois et de Louise Mauger de Eperrais; 61400; Orne;
Basse-Normandie. (Perche).
Cette dernière était
veuve d'un second mariage avec Louis Prudhomme en date du 30 novembre
1650 à Montréal (Contrat du 22 octobre 1650, Not. Saint-Père).
Elle avait été l'ex-épouse d'un premier mariage avec César Léger en date du 22
mai 1644 à Québec (Contrat du 18 mai 1644, Not. Tronquet). Ce contrat a été
annulé en date du 30 novembre 1650 à Montréal. (Ce monsieur
ayant été accusé de concubinage, il avait épousé une seconde femme le
26/08/1647 à Québec, avec un contrat en date du 17/08/1647, seconde
épouse Marguerite Besnard.)
Pierre Verrier a été
inhumé le 30 octobre 1704 à Montréal. On nous dit que ce couple n'a pas
eu d’enfant. Par contre, le recensement de 1681, nous dévoile qu’il y a
4 enfants présents avec eux, dont l'aîné est âgé de 30 ans et le plus
jeune 15 ans. Donc il faut en conclure que ces enfants sont ceux des
mariages précédents de Roberte Gadois et Louis Prudhomme.
Ménage établi
à Montréal. (Aucun enfant)
(Tanguay, vol.1, p.585, 502, 371; Jetté, p.1122, 951, 699; Drouin,
vol.2, p.1335, 1116, 817; Sulte, Hist., vol.5, p.69(2); Langlois,
p.491-493) |
oui |
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Des Barreaux |
Soldat |
|
oui |
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La Roye |
Soldat |
|
oui |
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La Pensée |
Soldat |
|
oui |
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Lafleur |
Soldat |
|
oui |
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Du Marché |
Soldat |
|
oui |